Le GPSO (tracé en rouge sur la carte ci-dessus) impacte tout un bassin versant. En l’occurrence le bassin versant Adour-Garonne. Or, alors que la sécheresse s’accentue au fils des ans, il faut raisonner en « ensemble » sur ce territoire, en tenant compte du maillage des chevelus qui alimentent par exemple la multitude d’affluents du Ciron.
 
Chaque viaduc nécessite l’installation d’une base travaux. Par exemple pour chacun des 15 viaducs prévus dans la Vallée du Ciron, des tonnes de béton seraient infiltrées au plus près de l’eau potable de toute une région. Les risques de pollution sont énormes.
Plus d’éléments sur les conséquences d’un chantier d’une telle ampleur sur nos bassins versant et sur les nappes phréatiques dans un article du blog médiapart.