Qui sommes-nous ?

LGV NON MERCI est à la fois

  • un portail vers un ensemble de collectifs en lutte contre le Grand Projet ferroviaire du Sud-Ouest (GPSO), situés à différents points de la région (dans le Sud-Ouest uniquement pour l’instant), du Pays-Basque à la Gironde en passant par l’Occitanie ;
  • une plateforme de ressources (site internet, réseaux sociaux, …) visant à informer sur les enjeux du GPSO et à visibiliser les actions menées par les collectifs, associations ou élus (relais) ;
  • et une coordination de lutte portant une diversité de formes d’actions (du recours juridique au blocage de chantiers, en passant par les pétitions, les manifestations, les réunions d’information, …) et menant une réflexion large sur les leviers possibles pour mettre fin au projet.

 

Concernant la coordination “LGV NON MERCI”

= ce dont on parle le plus souvent lorsque l’on se réfère à “LGV NON MERCI”

Entre quinze et vingt collectifs se réunissent régulièrement depuis l’été 2023 : la mobilisation du 3 juin à Saint-Médard-d’Eyrans a vu naître la première assemblée (avec à l’époque une dizaine de collectifs représentés), permettant les échanges entre les collectifs historiques comme le CADE en lutte depuis plus de 20 ans contre le GPSO, et les collectifs plus récents comme LGV NiNa (Ni ici Ni ailleurs) créé à la relance du GPSO en 2021.

L’assemblée inaugurale de ce qui ne s’appelait pas encore “LGV NON MERCI”, lors de la manifestation du 3 juin 2023 à Saint-Médard-d’Eyrans

 

La coordination LGV NON MERCI permet depuis lors de se coordonner et de se fédérer entre membres de collectifs de sensibilités diverses, avec pour visée commune l’abandon du projet du GPSO. 

Partant d’un simple rendez-vous mensuel “intercollectif”, LGV NON MERCI devient une véritable coordination en 2024 en se dotant d’une charte formalisant sa raison d’être et les engagements principaux des collectifs membres :

EXTRAIT DE LA CHARTE LGV NON MERCI

La coordination a pour rôle :

  • la coordination interne et la mutualisation de moyens entre les collectifs qui la composent autour d’actions collectives contre le GPSO ;
  • d’être un relais médiatique auprès du grand public et d’autres organisations pour promouvoir les actions entreprises par les collectifs, à la condition que ces actions restent dans le cadre défini dans cette charte [la charte précise nos lignes rouges] ;
  • de porter et revendiquer des actions communes

Objectifs poursuivis

  • Les collectifs représentés au sein de la coordination « LGV non merci » réclament tous l’abandon ferme et définitif de l’ensemble du projet GPSO ;
  • Ces mêmes collectifs n’accepteront aucun aménagement du projet ;
  • La coordination a pour but de favoriser la multiplicité des modes d’action ;
  • Nous sommes pour des alternatives ferroviaires qui répondent aux besoins de mobilité du quotidien.

Des groupes de travail et de réflexion sont donc portés par les collectifs et élu.e.s impliqués dans la lutte, des actions, des enquêtes, des liens font vivre ce mouvement pluriel. Le tout prend la forme d’activités répondant à quelques enjeux prioritaires :
– faire connaître le projet du GPSO et ses implications ou enjeux écologiques, climatiques, économiques, sociaux, démocratiques, énergétiques, … ;
– massifier le mouvement d’opposition au GPSO et créer du lien entre collectifs opposés au projet ;
– contrer les décisions anti-démocratiques prises au niveau européen, national, régional, départemental et communal notamment quant au financement de ce projet et à l’attribution des fonds publics sur les infrastructures de transport ;
– fédérer les habitant.e.s du territoire dont les maisons ou terrains (notamment agricoles) sont menacés par le projet, sur le tracé du GPSO, et suivre les démarches d’expropriation ou les rachats en cours ;
– visibiliser la réflexion active portée par les collectifs en lutte contre le GPSO – et politique par essence – sur l’habitat, les liens entre territoires et les déplacements face aux incohérences des grands projets inutiles, ainsi que les alternatives à la métropolisation galopante

 

Pour nous contacter : contact@lgvnonmerci.fr

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Rejoindre un collectif

La façon la plus évidente de soutenir le mouvement d’opposition au GPSO est de joindre un des collectifs existants pour contribuer à ses activités. Pour les rejoindre, le mieux est de les contacter directement !

La carte ci-dessous présente géographiquement les collectifs.  À noter que beaucoup sont actifs sur un département ou une zone plutôt que sur une ville ponctuelle, ce qui ne peut être correctement figuré sur cette carte…

Pour partager cette carte, notez le lien suivant : http://u.osmfr.org/m/927649/